Voici quelques images de la première tentative d'installation de ce projet dans le "lab" de l'école d'art de Chicago. Le plafond étant très bas l'installation n'a pas pue être mise en place dans de bonnes circonstances, mais cette mise en espace était tout de même une expérience très intéressante.

Voila deux semaines que je développe ce projet inspiré par l'idée d'A.T.Field qui apparaît dans la série Evangelion (réalisé par Hideaki Anno du Studio Gainax) et par les situation auxquels j'ai était confronté ces derniers mois. Le tout commence a prendre forme, et plusieurs nouvelles idées se rajoute a mon impulsion initiale au fur et a mesure que les lignes de codes se succèdent.
Pour l'instant le programme rentre dans sa phase chaotique, l'instabilité règne et des résultats inattendu apparaissent. Je pense que c'est le bon moment pour le confronter au monde extérieur, d'autant plus que l'interface (qui est devenue une webcam) est maintenant opérationnelle. Plus de détails a venir.

Voici la suite du développement de cette classe. Chaque objet peu maintenant se déplacer de manière autonome et peu afficher 5 différents types d'expression. Le programme utilise l'OpenGL pour le rendu (beaucoup plus rapide) mais cela risque de ne pas marcher sur toutes les configurations. A essayer.

Parallèlement je conseille a tous ceux que les système programmé autonomes intéressent la lecture de cette thèse rédigé par Ben FRY (créateur de Processing) et Jhon Maeda.

3 photographies argentiques accompagnées d’un détail du sujet photographié :
Chacune de ces photos est composée de 32 photos différentes du même lieu, d’un même point de vue (celui de ma hauteur fixe) prises manuellement avec un intervalle de temps le plus court possible (environ 0.5 sc.). Ainsi chaque photo est la mémoire visuelle en nuance de gris du lieu photographié à un instant temporel passé durant une période très courte (1/500 sc.) tandis que le photomontage qui les rassemble, contenant tous ces instants temporels très rapprochés, est une représentation possible de ce lieu durant un intervalle temporel qui est d’environ 16.064 sc.

Vitkov, une construction austère et mystérieuse au passé mouvementé. Depuis bientôt 15 ans, le monument est fermé au public, personne ne sachant qu’en faire. Jusqu’en 1989, le monument de Vitkov a, en effet, été une sorte de mausolée abritant les cendres des plus hauts fonctionnaires communistes. Et pas seulement les cendres. A l’instar de Lénine à Moscou, le corps embaumé du premier président communiste tchécoslovaque, Klement Gottwald, a été exposé dans une salle spéciale de Vitkov, de 1953, date de sa mort, à 1962.

C’est en ce lieu que pris place V.I.R.U.S.

VIRUS est un spectacle hybride, mélangeant la danse, la musique électronique originale et les images synthétiques à un dispositif technologique, immersif et spatial.

Le thème propose un questionnement sur la contamination du monde du vivant par le monde des machines, par un cybermonde construit autour des réseaux informatiques déjà infectés. Il exprime la modification intentionnelle du vivant par le vivant, d’un ”art de technicité biologique” en quelque sorte et ensuite la modification du vivant par la technologie intelligente autonome libérée de son créateur.

VIRUS explore les relations entre les êtres vivants, entre les êtres et les machines, entre les machines et les fantômes : Ces êtres réels, hybridées, chimériques ou virtuels entretiennent avec le Temps et l’Espace des relations conflictuelles, mystérieuses et complexes.

Ce spectacle est issu d’une série de workshop internationaux et pluridisciplinaires mettant en question les modalités de la représentation artistique, les ambiguïtés des rapports a la technologie, la fragilité et la puissance des corps dansants, et les manières de solliciter l’attention et la complicité des spectateurs.

Ce spectacle fut présenté lors du Festival d’Art Electronique Entermultimediale 2 à Prague.

Durent ce dernier Workshop, à un mois de la présentation de notre projet, tout le monde travailla a un rythme acharné. Compositeur, ingénieur du son et de la lumiere avaient rejoint l’equipe et le contenu du projet prenai forme.

Pandant deux semaines, isolé dans la petite ville de Berun à 40km de Prague, les nuits et les journées se succédaient et se confondées, le dévelopement progréssait sans intéruption.

Ces photos sont une étude réalisé dans le cadre de mon projet 3D "Orange".
Il s'agit d'une cinquantaine de petit batiment en argile que j'ai reproduit en 3D et incorporer dans mon environement sous Doom 3. Ces photos m'on permis tout d'abord d'aprendre a developer des photos argentiques, et de rechercher une ambience ou une estethique a travers un autre medium.

Premier élément de programmation pour ce projet.
Ce programme permet de modifier aléatoirement la position d’éléments de la map (sur la vidéo les cubes) mais de n’effectuer leur changement de position que si ils ne sont pas visibles par le joueur et qu’ils ne vont pas apparaître dans le champs de vision du joueur. Mon but est de mettre en évidence et de tester les processus que j’utilise pour nourrir cet espace d’objets ou de règles et pour manipuler sa représentation : Simulation, Autonomie, Traduction ...

Premier projet de programmation sous Doom 3.
L’objectif était de programmer un des monstres de Doom 3, le redoutable et sanguinaire Hell Knight, pour qu’il puisse jouer au foot par équipe de 2 avec une grosse balle rose.

Premier Worshop du projet.

Nous nous rendimes pour la premiere foi a Prague. Ce fu pour nous l’occasion de découvrire cette ville mérveilleuse et de prend connaissances avec les participent du projet. Cette semaine fut principalement consacré a un premier contact avec les différents technoligies qui étaient mise a notre disposition ormis le dispositif de capture de mouvement. VRML et projection Stéréoscopique était les principeaux outils que nous avons pue expérimenter.

Prague est une ville fantastique, pleine d’histoire et de secret.